
L’intérêt de cette démarche est de faire une
cartographie à un instant donné des divers cas de figures que l’on peut
rencontrer sur notre parcours :
- Exposition
à l’ombre ou au soleil
- Divers
substrats
- Présence
de basidiomycètes (champignons du sol)
- Problèmes
de recoupement de certains arroseurs
- Reliefs
plus ou moins marqués sur certains greens (pentes)
- Présence
ou non de racines d’arbres sous-jacentes
Les valeurs ont toutes
été relevées le même jour pour avoir des données cohérentes d’un trou à l’autre
selon les mêmes facteurs environnementaux (facteurs climatiques, facteurs
édaphiques, facteurs biologiques). Les valeurs en elles- même importent peu pour
la cartographie, ce qui importe c’est la différence qu’il peut y avoir d’un
green à l’autre. Ces valeurs peuvent apporter,
relevé après relevé, des informations
sur l’impact des pratiques culturales, de la fertilisation (surtout les
amendements) et des programmes (mouillants). Dès lors, il est facile d’adapter
l’entretien, en intensifiant ou non les opérations d’aération, les programmes
de mouillant, de fertilisation organiques
(amendements ou engrais organiques, acides humiques ou fulviques) ou
inorganiques (terre de diatomées, céramiques poreuses, zéolithe).
Les relevés ont été effectués
selon un découpage des greens en 9 secteurs, devant, milieu et fond de green, à
gauche, au centre et à droite. Une cartographie précise avec un code couleur permettra une meilleure visualisation, green par green, des diverses zones.
- Rouge :
zone sèche
- Jaune :
zone intermédiaire
- Vert :
zone plus humide
Enfin, les valeurs
peuvent être utilisées comme une aide à la décision pour lancer ou non un
arrosage, en particulier aux saisons intermédiaires (printemps ou
automne).
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